Ce tonnerre qui gronde, cette lave qui lèche mes blessures, ce ressac lourd de promesses non-tenues, entendez-vous misérables, entendez-vous la sourde colère éjaculant du plus profond de mon être ?
Salive annonciatrice des plus vils tourments éspérés, bave au lèvres implorant les douleurs les plus abominables, je n'aurais de cesse que de respirer pour infliger à vos putrefiantes carcasses les entailles de ma haine la plus acide.
Il n'y aura pas de pitié, il n'y aura pas de remords et le temps ne fera rien a l'affaire.
Je suis le Néant Je suis le Démon Je suis l'Absolu Vide qui habitera vos coeurs avides de vices et vos corps boursouflés de pretentions et de chairs adipeuses.
Je sucerai vos esprits et tel un fourbe serpent avalerai les derniers oeufs pourris qui encore vous preservent du retour à la terre, fange où jamais vous n'auriez du vous extraire.
Maudits soient les ventres de vos meres.
Je porte ma Croix mais ne tendrait pas la joue.
L'Enfer est ma maison.
La Vengeance est ma Raison.
Salive annonciatrice des plus vils tourments éspérés, bave au lèvres implorant les douleurs les plus abominables, je n'aurais de cesse que de respirer pour infliger à vos putrefiantes carcasses les entailles de ma haine la plus acide.
Il n'y aura pas de pitié, il n'y aura pas de remords et le temps ne fera rien a l'affaire.
Je suis le Néant Je suis le Démon Je suis l'Absolu Vide qui habitera vos coeurs avides de vices et vos corps boursouflés de pretentions et de chairs adipeuses.
Je sucerai vos esprits et tel un fourbe serpent avalerai les derniers oeufs pourris qui encore vous preservent du retour à la terre, fange où jamais vous n'auriez du vous extraire.
Maudits soient les ventres de vos meres.
Je porte ma Croix mais ne tendrait pas la joue.
L'Enfer est ma maison.
La Vengeance est ma Raison.