Oh meine gott, quelle giclée !
Et comme toujours, quelle jubilation qui tel un cerveau explosé à coups de batte de base-ball éclabousse les fauteuils alentours, dans lesquels sous un plaisir coupable, nous eructons de joie !
INGLORIOUS BASTERDS (projet ecrit bien avant Jackie Brown) avec au commande un Brad Pitt comme toujours consciencieux evoque (et révise ) une vision sanguinolente et donc trash d’une page sombre de l’histoire de l’humanité, la réponse d’un commando parachutés sur le territoire français pour rendre la monnaie de leurs piéces aux horribles exactions nazies.
Nous pourrions oser le oeil pour oeil, mais dans ce cas, c’est pour un oeil toute la gueule !
Dialogues comme toujours faussement inutiles, et comme souvent, deflagrations de violences inouies et surprenantes, retournement de situation et charactères des personnages qui jamais ne sont statiques et permettent aux acteurs un jeu absolument hallucinant (la prestation incroyable de finesse et sadisme de Christoph Waltz, veritable revelation).
Un pur film de genre pour egayer l’hivernal dimanche aprés-midi, armé de pop-corn et soda.
Encore un coup de maitre !