PRACTICE WHAT YOU PREACH...
Delicate intro, sans doute ces fiers vikings s'appretent-ils a conquerir dans un bain de sang de nouveaux territoires, violant, pillant, brulant au nom d'Odin et semant la peur pour de nombreuses generations...
Hein, quoi...? mais qu'est-ce...?
Surprise quand déboule le deuxieme morceau "Push Pull Destroy", avec ses voix abrasives et ses rythmiques typiques, ses fieres calvacades et cette production au bitume...C'est de Thrash americain dont il s'agit, et non pas d'un enieme groupe de viking metal comme le laissait justement penser le nom du combo (voire même la pochette).
AAAAAAAAAAAArgghh, Thrash till' death !!, BATTLECROSS (nouvellement signés chez Metal Blade Records) propose donc son "Pursuit Of Honor"(non, ce n'est pas le nouveau Amon Amarth...on aurait suggéré plutôt "Push Pull Destroy", plus approprié comme titre d'album...)ce thrash metal qui ne veut decidement pas mourir, Thrash Metal toujours debout, mais qui au nombre de sorties labellisée "Veste à patch" arrive a fatiguer et ennuyer le cafard devoreur de musique metallique que je suis.
Alors quoi ?
Alors rien.
Rien ici ne soulevera jubilation, rien ne permettra a ce deuxieme album de ce groupe créé en 2003 de ressentir cette petite emotion supplementaire (le petit supplement d'âme) qui l'extrairait de la masse mondiale moshante.
Certes, ils connaissent les fondamentaux ( Atheist ou Gorefest), certes ils vivent en 2011 (Black Maria Murder), certes ça bourrine pendant presque 37 mn ("Man Of Stone", rageur) mais Dieu, que ce Thrashy-melodeath-Core est lassant.
Vendu comme un mix de Testament et d'un Terror 2000 épileptique (ou Children Of Bodom, faites votre choix...) , disons ici que la mayonnaise ne prend pas.
Techniques et roots (dans la volonté), certains morceaux meritent quand même le detour ("Rupture" aux breaks devastateurs ou "Leech", heavy et punk devastateur) mais la premiere impression reste tenace, on a déjá entendu ça mille fois. Si seulement nous avions eu droit à plus de tueries (pour le coup rellement inspiré) comme le sulfureux "Misery", reussite incontestable de l'album...mais avec des "si"...
Alors quoi ?
Alors tant pis, prise de risque minimum, no pain no gain.
Et quand on vient de Detroit (Mére-patrie de l'electricité vendue sous forme de vinyls, souviens toi des Stooges, ami...), c'est pas ma petite chronique qui va les effrayer.
On esperera un peu plus du prochain.
link : English Version
PRACTICE WHAT YOU PREACH…
Eh, what…? Damned, What Is This…??
I remain surprised when bouncing the second song “Push Pull Destroy”, with its abrasive voice and its typical rhythms, its proud calvacades and bitumen production…It Is American Thrash , and not a another band of viking metal as the precisely suggested the name of the combo.
AAAAAAAAAAAArgghh (Translate : Thrash Till’ Death…!), BATTLECROSS (newly signed with Metal Blade Records) proposes its “Pursuit Of Honor” (no, it’s not the new Amon Amarth… however, I’d prefer “Push Pull Destroy”, more appropriate name…). This thrash metal which is not really dying, Thrash Metal is still standing, but the number of labelled exits “Nike Or Die” reach the tire and annoy the cannibal cockroach of music metal that I am.
Then what?
Nothing in this album finds my jubilation, nothing will allow this second album of Battlecross, created in 2003, to sense this small extra (the small supplement of soul) emotions that pull it to “Moshy Metal Mass”. Certainly, they know the fundamental (Atheist or Gorefest), while they live in 2011 (Black Maria Murder), certainly the album devastates ears for almost 37 minutes (“Man Of Stone”, angry) but God, this Thrashy-melodeath-Core is tiresome.
Sold as a mix of Testament and an epileptic Terror 2000 (or Children Of Bodom, make your choice…).
Technical and default (in the will), some tracks deserve even the detour (“Rupture” to the devastating breaks) or “Leech”, heavy and devastating punk, but the first impression remains tenacious, I have already heard it a thousand times. If only we had more killer songs, as the sulphur “Misery”, indisputable success of the album… but with “If”…
Then what? Then maybe the worse, minimum risk, no pain no gain.
And when it comes to Detroit (mother-hometown of Electricity sold as vinyl, remember of The Stooges…), it is not my small column which will frighten them. But I just hope a little bit more to these Guys’ next album.