OFFSHORE SENSATIONS
(link : English version)
Miami soleil couchant, Gucci lamé, Testarossa ronronnante, Baile Átha Cliath semble bien loin...Et pourtant, nous franchirons ce pont imaginaire qu' est ce Rock n' Roll Circus, nouvel album lumineux ( enregistré au Rob’s GMG Studio One enIrlande)du guitariste, chanteur, producteur ROB MANCINI, qui après plusieurs années de silence (Rob a joué dans divers groupes sur la scene internationale dans les annees 90 et a partage la scene avec des artistes tels que Victory, Thunderhead, Dare) retrouve les autoroutes du succès avec cette perle de metal estampillé 80's, cet AOR de trés grande classe, Rolls Royce melodique et cocktail rafraichissant.
Sexy Luxury.
Sans doute, personne ne l'attendait. Et c'est donc toute sa force.
Si le genre depuis plusieurs années retrouve vigueur et vitrines (le Above and Beyond de Bad Habit, le monstrueux The Greatest Wonder de Khymera ou encore les derniers Treat, Work of Art), force est de constater que Rob MANCINI simplement, humblement vient d'apporter une nouvelle pierre à l'édifice majestueux qu'ont erigé les illustres ancêtres tels que les Fleetwood Mac, Eagles ou plus proches de nous Toto, Journey et Survivor. Pride Of Lions aussi. Cathedrale de Plaisir.
Crunchy comme les glorieuses 80's, aerienne comme une mouette, cette musique donne le frisson. Euterpe jubile, la geographie malmenée par ces claviers radieux et ces rythmiques sucrées prouve que la belle et fiére Irlande n'est pas si eloignée que cela de l'espiègle Californie sublimée par cette avalanche de sons ensoleillés et positivement addictifs.
Bienvenue donc dans ce cirque, et si le rire d'ouverture peut sembler inquietant (nous sommes tres loin d'Alice Cooper), ce n'est que pour mieux brouiller les pistes.
Exit les tenebres, Rock n' Roll Circus annonce la couleur : Bon Jovi martyrisé par les rythmiques singuliéres d'un Marylin Manson, cela ne plaisante pas. Etonnant. Ici aucun doute, tout semble possible. Et c'est avec le troisieme morceau que l'on est au coeur du propos, a savoir un AOR puissant, racé, qui se deguste sans moderation, un verre de Chianti à la main, devant un ocre coucher de soleil. Gros single, "Edge Of Broken Heart" tient toutes ses promesses avec ces malmsteeniennes arpeges au centre du morceau, rehaussé de sexy choeurs feminins . Pas le temps de reprendre sa respiration, la voix chaude de Rob convoque Jon Bon Jovi ansi que Corey Hart (souvenirs souvenirs...) et "Everytime You cry" avec son mid-tempo hypnotique finit de nous seduire. On sait alors que nous faisons face à une piece maitresse, rare et donc precieuse.
Claviers indus et vibrations goth, l'entame est dantesque et lorsque l'on reconnait le morceau, tout est dit : la reprise du sublime morceau "Running Up That hill" de la non moins sublime (et adorée par votre serviteur) Kate Bush fait monter l'adrenaline et dresser les poils sur nos bras. Rob une fois encore magnifie le propos et de sa voix magique nous abasourdi. Waouh, quelle claque monumentale (bon dieu, sortez la en single celle-là !!).
"Lay Down The Law" et le Texas s'invite à la fête, pur moment de bonheur avec cet hommage appuyé aux barbus de ZZTop, rutillant boogie façon Eliminator, Rob, Rob, tu es Magique !
Quittons pour un moment les années Reagan pour rentrer de plein pied dans les 90's avec ce synthetique "Weak As I Am", sombre introspection aux intonations vocales rappellant ici où là le très estimé Mike Tramp. Decidemment la palette artistique du sieur Rob est large et il continue de nous mener par le bout du nez. "Too Late To Die", dark pop aux chuchotements seduisants rallume la lumière et affirme ces propos.
AOR toujours et encore, fusée d'argent dechirant notre coeur, "The Reaper" apaise à peine notre faim. Solis irradiant sur nappes de claviers vindicatifs, c'est sur, j'en veux encore plus et cette voix (oui, encore et toujours) sait se faire comprendre. Grand Art.
Eruptions echappées d'un Satriani ressucité, les guitares se font mordantes sur ce "United We Stand", avec ces "Somebody" hypnotiques qui profondement s'impriment dans notre memoire. Tant de bonheur, est-ce seulement possible... ?
Et alors survient les dernieres minutes, assassines, cruelles, comment se dire adieu...? Comment se quitter sans trop souffrir ?
Peut-être alors se plonger dans cet ocean au ressac psychedelique qu'est "Time Stops For No One But You", dernier baiser langoureux qui verrait sous les doux auspices d' une Jane's Addiction et d' un Ozzy lunaire conclure ce charmant voyage...A travers les continents, à travers les strates de nos chairs, de nos âmes.
Nietzsche l'a écrit, "Sans La Musique la Vie Serait Une Erreur".
Avec ce "Rock n' Roll Circus" Rob Mancini corrige nos desillusions.
Et si la musique est un cri qui vient de l'interieur, sache Rob, que je l'ai entendu.
MASTERPIECE. Pas moins-
Miami soleil couchant, Gucci lamé, Testarossa ronronnante, Baile Átha Cliath semble bien loin...Et pourtant, nous franchirons ce pont imaginaire qu' est ce Rock n' Roll Circus, nouvel album lumineux ( enregistré au Rob’s GMG Studio One enIrlande)du guitariste, chanteur, producteur ROB MANCINI, qui après plusieurs années de silence (Rob a joué dans divers groupes sur la scene internationale dans les annees 90 et a partage la scene avec des artistes tels que Victory, Thunderhead, Dare) retrouve les autoroutes du succès avec cette perle de metal estampillé 80's, cet AOR de trés grande classe, Rolls Royce melodique et cocktail rafraichissant.
Sexy Luxury.
Sans doute, personne ne l'attendait. Et c'est donc toute sa force.
Si le genre depuis plusieurs années retrouve vigueur et vitrines (le Above and Beyond de Bad Habit, le monstrueux The Greatest Wonder de Khymera ou encore les derniers Treat, Work of Art), force est de constater que Rob MANCINI simplement, humblement vient d'apporter une nouvelle pierre à l'édifice majestueux qu'ont erigé les illustres ancêtres tels que les Fleetwood Mac, Eagles ou plus proches de nous Toto, Journey et Survivor. Pride Of Lions aussi. Cathedrale de Plaisir.
Crunchy comme les glorieuses 80's, aerienne comme une mouette, cette musique donne le frisson. Euterpe jubile, la geographie malmenée par ces claviers radieux et ces rythmiques sucrées prouve que la belle et fiére Irlande n'est pas si eloignée que cela de l'espiègle Californie sublimée par cette avalanche de sons ensoleillés et positivement addictifs.
Bienvenue donc dans ce cirque, et si le rire d'ouverture peut sembler inquietant (nous sommes tres loin d'Alice Cooper), ce n'est que pour mieux brouiller les pistes.
Exit les tenebres, Rock n' Roll Circus annonce la couleur : Bon Jovi martyrisé par les rythmiques singuliéres d'un Marylin Manson, cela ne plaisante pas. Etonnant. Ici aucun doute, tout semble possible. Et c'est avec le troisieme morceau que l'on est au coeur du propos, a savoir un AOR puissant, racé, qui se deguste sans moderation, un verre de Chianti à la main, devant un ocre coucher de soleil. Gros single, "Edge Of Broken Heart" tient toutes ses promesses avec ces malmsteeniennes arpeges au centre du morceau, rehaussé de sexy choeurs feminins . Pas le temps de reprendre sa respiration, la voix chaude de Rob convoque Jon Bon Jovi ansi que Corey Hart (souvenirs souvenirs...) et "Everytime You cry" avec son mid-tempo hypnotique finit de nous seduire. On sait alors que nous faisons face à une piece maitresse, rare et donc precieuse.
Claviers indus et vibrations goth, l'entame est dantesque et lorsque l'on reconnait le morceau, tout est dit : la reprise du sublime morceau "Running Up That hill" de la non moins sublime (et adorée par votre serviteur) Kate Bush fait monter l'adrenaline et dresser les poils sur nos bras. Rob une fois encore magnifie le propos et de sa voix magique nous abasourdi. Waouh, quelle claque monumentale (bon dieu, sortez la en single celle-là !!).
"Lay Down The Law" et le Texas s'invite à la fête, pur moment de bonheur avec cet hommage appuyé aux barbus de ZZTop, rutillant boogie façon Eliminator, Rob, Rob, tu es Magique !
Quittons pour un moment les années Reagan pour rentrer de plein pied dans les 90's avec ce synthetique "Weak As I Am", sombre introspection aux intonations vocales rappellant ici où là le très estimé Mike Tramp. Decidemment la palette artistique du sieur Rob est large et il continue de nous mener par le bout du nez. "Too Late To Die", dark pop aux chuchotements seduisants rallume la lumière et affirme ces propos.
AOR toujours et encore, fusée d'argent dechirant notre coeur, "The Reaper" apaise à peine notre faim. Solis irradiant sur nappes de claviers vindicatifs, c'est sur, j'en veux encore plus et cette voix (oui, encore et toujours) sait se faire comprendre. Grand Art.
Eruptions echappées d'un Satriani ressucité, les guitares se font mordantes sur ce "United We Stand", avec ces "Somebody" hypnotiques qui profondement s'impriment dans notre memoire. Tant de bonheur, est-ce seulement possible... ?
Et alors survient les dernieres minutes, assassines, cruelles, comment se dire adieu...? Comment se quitter sans trop souffrir ?
Peut-être alors se plonger dans cet ocean au ressac psychedelique qu'est "Time Stops For No One But You", dernier baiser langoureux qui verrait sous les doux auspices d' une Jane's Addiction et d' un Ozzy lunaire conclure ce charmant voyage...A travers les continents, à travers les strates de nos chairs, de nos âmes.
Nietzsche l'a écrit, "Sans La Musique la Vie Serait Une Erreur".
Avec ce "Rock n' Roll Circus" Rob Mancini corrige nos desillusions.
Et si la musique est un cri qui vient de l'interieur, sache Rob, que je l'ai entendu.
MASTERPIECE. Pas moins-
OFFSHORE SENSATIONS
Sexy Luxury.
No doubt, nobody expected it. And therefore it’s all its force. If the sweet musical inclinaison since several years find force and showcases (“Above and Beyond” of Bad Habit, the monstrous “The Greatest Wonder” of Khymera or even the latest Treat and Work of Art), it is clear that ROB MANCINI simply and humbly puts a new stone to the majestic building that have built the illustrious ancestors such as Fleetwood Mac, Eagles or closest us Toto, Journey and Survivor. Pride Of Lions also.
Cathedral of Pleasure.
Crunchy as the 80′s, free as a Seagull, this music gives the thrills. Euterpe gloats and a manhandled geography make these bright keyboards and sweet rhythmics prove the lovely and proud Ireland, and it’s not so far away from the mischievous California by these avalanche of sunny and positively addictive sounds. Welcome into this circus, and if the opening laughter may seem worrisome (we are very far from Alice Cooper), that is, it is better to be confused. Exit from the darkness and sad mood, Rock ‘n Roll Circus announces colors: Martyred Bon Jovi by the expressions of Marylin Manson. Surprisingly. Here no doubt, everything seems possible.
With the third song we are at the heart of the words, powerful, sleek and AOR which is a flavor without moderation, a glass of Chianti in hand, before an ochre sunset. Huge single, “Edge Of Broken Heart” takes all its promises with the “Malmsteenish” arpeggios at the mid of the song, note also its magical female choirs. Not the time to catch the breath, and the warm voice of Rob convenes Jon Bon Jovi and Corey Hart in “Everytime You cry” with its hypnotic mid-tempo.. and I know that I’m facing here a rare and precious mistress piece.
Crunchy as the 80′s, free as a Seagull, this music gives the thrills. Euterpe gloats and a manhandled geography make these bright keyboards and sweet rhythmics prove the lovely and proud Ireland, and it’s not so far away from the mischievous California by these avalanche of sunny and positively addictive sounds. Welcome into this circus, and if the opening laughter may seem worrisome (we are very far from Alice Cooper), that is, it is better to be confused. Exit from the darkness and sad mood, Rock ‘n Roll Circus announces colors: Martyred Bon Jovi by the expressions of Marylin Manson. Surprisingly. Here no doubt, everything seems possible.
Undue keyboards and goth vibrations, the start is dantesque of the next “resumption of the sublime” song “Running Up That hill” (maybe this new version was inspired by Rob Mancini’s muse & fiancée). My adored Kate Bush is now mounting the adrenaline and shows a smile on her faces. Rob once again magnifies the remarks and with his magical voice we remain stunned. Wow, what monumental slap.
“Lay Down The Law” and Texas is invited to the feast, pure moment of happiness with this supported tribute to the bearded ZZTop, gleaming boogie (Eliminator’ s touch), Rob, Rob, you are magic! Leave for a moment
the years when Reagan returned to full feet in the 90′s with “Weak As I Am”, a synthetic, dark introspection to the intonation voices recalling here the very estimated Mike Tramp. “Too Late To Die”, dark pop to seductive whispers, light the lights and say the words: I want more!
Over and over again, AOR silver rocket tired our heart, “The Reaper” barely calms our hunger. Radiating solos on sheets of vindictive keyboards, that is, I want even more this voice! Escaping eruptions of Satriani’s guitars are biting on “United We Stand” and the hypnotic “Somebody” which will be printed deeply in our memory. Then occurs the last minutes, murderous, cruel, and how to say farewell…? How to leave without much suffering? Perhaps then to dive into this ocean by a psychedelic surf, that is “Time Stops For No One But You”, last languorous kiss that would see a mild hosted Jane’s Addiction and a lunar Ozzy to conclude this charming journey…Through the continents through the strata of our flesh, of our souls.
Nietzsche wrote, “Without the music the life would be an error”. With this “Rock ‘n Roll Circus” Rob Mancini corrects our disillusionments. And if your music is a cry that comes from within, know Rob, I heard it.
It’s not a Rock ‘n Roll Circus.
It’s an AOR Anthology-
MASTERPIECE. Not less-