La Mort Du Fantome de l'Opéra ou La Fin d'une (toute petite) Ère...
(link ; English version)
Grandeur et decadence, ce fils là sera indigne...
Dark Passion Play etait tel un phoenix, majestueux, conquerant de nouveaux cieux aux consonnances plus pop avec l'arrivée tant decriee d'Anette Olzon, laissant amorphe la diva tant aimée, sur le bas coté, ejectée du train en marche comme une malpropre.
Dark Passion Play etait tel un phoenix, majestueux, conquerant de nouveaux cieux aux consonnances plus pop avec l'arrivée tant decriee d'Anette Olzon, laissant amorphe la diva tant aimée, sur le bas coté, ejectée du train en marche comme une malpropre.
L'attente de ce nouvel opus etait grande, sans doute demesurée. Nous ne remettrons aucunement l'insolent talent du sieur Holopainen en cause, il devient avec ses orchestrations wagnerienne un maitre du genre (Tony Kakko lui emboite le pas, mine de rien..) mais force est de constater que ce Imaginearum est trop souvent indigeste, et que la recette maintenant connue, est utilisée jusqu'à l'ecoeurement avec son intro bien trop fade et le premier hit single bombastic pour annoncer le diner : certes, il sera copieux mais d'une lourdeur incontestable comme le prouvera un peu plus tard le pesant "Ghost River".
Plus B.O. anecdotique (EPICA l'a aussi tenté) que veritable nouvelle oeuvre dans la carriere de NIGHTWISH, cette demonstration frise le hors piste . Trop de minauderie de la part d'Anette ou de duos irritants avec le trop volubile Marco, on est en terrain connu avec une touche supplementaire de pretention et d'égotisme assumé même si d'agreables tentatives jazzy (Love Slow love) echouent ici aussi. La mayonnaise ne prend jamais.
Le film (à venir cette année 2012) sera sans doute plus determinant et enthousiaste, mais la deception est grande lorsque l'on a tant attendu le miracle.
Difficile de s'extasier oure mesure, la deception est grande. Sans doute le seul bonheur qui perdure sera l'ecoute du cd instumental, qui debarrassé des acides gimmicks restera une bien belle piece de satisfaction (seulement si vous avez usé jusqu'à la corde vos Cd de bandes originales d'Harry Potter...).
Pas content du repas, mais alors pas content. Pas sur que je revienne avec des fleurs-
je prefere un diner avec Tarja...
The Phantom Of The Opera’s Death or another End of a (Little)Era
Rise & Fall, the son will be unreliable…
Dark Passion Play was such a phoenix majestic (yes, i believed in that !), a new heaven towards more pop consonances, with the arrival of Anette Olzon, both scorned, leaving loved Diva, on the lower side, ejected from the train in motion as an ancient amorphous.
The wait for this new opus was huge, probably abusive. I don’t mean the insolent talent of Mr Holopainen, it becomes a master of the genre with its “wagnerienne” orchestrations (Tony Kakko he in hisembedded way) but it is clear that this concept album “Imaginearum” is too often indigestible, and that the recipe now known, is used to disgust with its much too bland intro and the first hit single is bombastic to announce dinner, therefore there will no doubt this album will be proved with “Ghost River”.
More anecdotal B.O. (EPICA tried it also), this is a real new work in the career of NIGHTWISH, this demonstration is close to the runway. Too many affectations on the part of Anette (maybe Tuomas should just try Anna Netrebko’s or Tatiana Monogarova’s inspirations…) & irritants duets with too voluble Marco, the field with an additional key claim and egotism, even if with enjoyable jazzy attempts (“Love Slow Love”) fail here too. Mayonnaise does not good, ever.
The movie (directed by Stobe Harju and Markus Selin productor) will be probably more decisive and enthusiastic, but the disappointment is huge when you are expecting the miracle. Probably the only happiness that this album has, would be listening to it as an instrumental cd, which clears the gimmick acids and would remain so a very beautiful piece of satisfaction (only if you used all your Harry Potter soundtracks…)
No time to loose. I will not come back with flowers.
I prefer a dinner with Tarja-