7 nov. 2012

KILL' EM ALL (Humeur)

Madonna, liberatrice des moeurs et madonne apportant la bonne parole aux peuplades sous-developpées reconnaissantes en echange d'embryons affamés, simple objet futile qui ne doit son existence phantasmagorique que grace aux regards des hommes qui l'on utilisé (dans tous les sens s'entend), manipulé et jeté sans remord comme un vieux preservatif usagé. D'une inutilité chronique, Madonna n'est qu'en fait qu'un vaste gel lubrifiant permettant aux féministes de s'imaginer enfin vainqueur et capitaine de leur destin. En vain. Une paire de seins reduit à sa plus simple expression. Les années aidant, la decrepitude guettant, on n'a pas fini de rire. Les femmes ne te disent pas merci.
Quel courage que de sucer . Tu vois où cela te mène. Cela en valait-il le coup ? Mariah Carey pourrait même t'en apprendre, c'est dire. Vous êtes la honte de la condition feminine quand tant de femmes se battent au quotidien pour preserver leur integrité et valeur face aux tourments de ce monde inéquitable.
Porno-stars ou Pop-stars, même metier.
A quand la sex-tape de Lourdes ?
Et par pitié laissez Dieu là où Il est. Il ne vous connait pas.
Alors 1000000 bravos pour les insoumises, les coeurs (et corps) purs de celles qui luttent sans honte face au miroir inquisiteur. Merci Shakira, merci pour cette fraicheur, candeur inéspérée où le Talent se conjugue dans toutes les langues.
Merci Taylor swift pour cette immaculée innocence qui eclaire les sillons des vinyls oubliés, quand on regrette la promesse d'une Jessica Simpson altérée (quelle deception), ces visages blonds-blé que l'on aimerait recolter chaque année.
Et sangloter d'une Whitney abimée, diva avinée, coke et raclée, quand une fée vieillit, on voudrait rallumer la bougie mais las, le froid est là et rien n'y fait, le givre recouvre la lumière. La flamme qui manque s'appelle l'Amour.